(...) Ce sentiment a rapidement disparu lorsque j'ai appris que même mon commandant d'escadron avait, lui aussi, envoyé trois P 40 à la ferraille. Un des pilotes avait même peint cinq drapeaux américains sur sa carlingue car il avait transformé cinq P 40 en épaves. Cela faisait de lui un as japonais. C'était en fait la seule manière de se procurer des pièces détachées car nous n'en recevions aucune des Etats-Unis.
Extrait choisi par Arnaud